• Ecoutez bien pourquoi nous disons non à la francophonie à kinshasa.

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  • Comme prévu, voici la seconde manifestation de la série des  Celle-ci s’est déroulée à Paris devant le siège de l’OIF (Organisation Internationale de la Francophonie)

    Cette manifestation avait pour  mot d’ordre « Non au sommet de la honte ! » En effet, au mois d’octobre  tiendra le 14eme sommet de la Francophonie à Kinshasa

    Or, durant sa campagne, le Président français avait promis de ne pas prendre part au désordre politique qui règne en RDC Les combattants ont donc eu à cœur de lui rappeler ses  promesses, en ayant grand espoir qu’il les tiendra.

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  • Orateur brillant et amateur de bons mots, l’ancien président burkinabè a impressionné tous ceux qui ont pu l’écouter à une tribune. Préférant lutter avec la parole plutôt qu’avec les armes -le comble pour un militaire, il utilisait les mots en toute liberté, sans crainte des conséquences. Ses discours ont d’ailleurs fait l’objet d’un livre, où ils sont compilés (“Thomas Sankara parle”). Voici donc, pour mieux comprendre qui il était, quelques extraits des discours de Thomas Sankara.

    Le pillage colonial a décimé nos forêts sans la moindre pensée réparatrice pour nos lendemains 1983, Paris, Conférence Internationale sur l’arbre et la forêt

    Il faut proclamer qu’il ne peut y avoir de salut pour nos peuples que si nous tournons radicalement le dos à tous les modèles que tous les charlatans de même acabit ont essayé de nous vendre 20 années durant. Il ne saurait y avoir pour nous de salut en dehors de ce refus là. Pas de développement en dehors de cette rupture là. Il faut ranimer la confiance du peuple en lui-même en lui rappelant qu’il a été grand hier et donc, peut-être aujourd’hui et demain. Fonder l’espoir.

    L’esprit de liberté, de dignité, de compter sur ses propres forces, d’indépendance et de lutte anti-impérialiste […] doit souffler du Nord au Sud, du Sud au Nord et franchir allègrement les frontières. D’autant plus que les peuples africains pâtissent des mêmes misères, nourrissent les mêmes sentiments, rêvent des mêmes lendemains meilleurs. Août 1984, Conférence de presse

    « Refuser l’état de survie, desserrer les pressions, libérer nos campagnes d’un immobilisme moyenâgeux ou d’une régression, démocratiser notre société, ouvrir les esprits sur un univers de responsabilité collective pour oser inventer l’avenir. Briser et reconstruire l’administration à travers une autre image du fonctionnaire, plonger notre armée dans le peuple par le travail productif et lui rappeler incessamment que, sans formation patriotique, un militaire n’est qu’un criminel en puissance.” Discours aux Nations unies, 4 octobre 1984

    La plus grande difficulté rencontrée est constituée par l’esprit de néo-colonisé qu’il y a dans ce pays. Nous avons été colonisés par un pays, la France, qui nous a donné certaines habitudes. Et pour nous, réussir dans la vie, avoir le bonheur, c’est essayer de vivre comme en France, comme le plus riche des Français. Si bien que les transformations que nous voulons opérer rencontrent des obstacles, des freins.

    « Ces aides alimentaires (…) qui installent dans nos esprits (…) ces réflexes de mendiant, d’assisté, nous n’en voulons vraiment plus ! Il faut produire, produire plus parce qu’il est normal que celui qui vous donne à manger vous dicte également ses volontés.” 1ère conférence nationale des CDR, 4 avril 1986

    Nous n’avons pas compris comment ils [Jonas SAVIMBI de l’Angola et Pieter BOTHA d’Afrique du Sud, pro Apartheid] ont eu le droit de parcourir la France si belle et si propre. Ils l’ont tachée de leurs mains et de leurs pieds couverts de sang. Et tous ceux qui leur ont permis de poser ces actes en portent l’entière responsabilité ici et ailleurs, aujourd’hui et toujours. Novembre 1986, discours fait à François Mitterrand, en visite à Ouagadougou

    Il n’y a pas de révolution sociale véritable que lorsque la femme est libérée. Que jamais mes yeux ne voient une société où la moitié du peuple est maintenue dans le silence. J’entends le vacarme de ce silence des femmes, je pressens le grondement de leur bourrasque, je sens la furie de leur révolte. J’attends et espère l’irruption féconde de la révolution dont elles traduiront la force et la rigoureuse justesse sorties de leurs entrailles d’opprimées.8 mars 1987, Ouagadougou

    « La démocratie est le peuple avec toutes ses potentialités et sa force. Le bulletin de vote et un appareil électoral ne signifient pas, par eux-mêmes, qu’il existe une démocratie. Ceux qui organisent des élections de temps à autre, et ne se préoccupent du peuple qu’avant chaque acte électoral, n’ont pas un système réellement démocratique. (…) On ne peut concevoir la démocratie sans que le pouvoir, sous toutes ses formes, soit remis entre les mains du peuple ; le pouvoir économique, militaire, politique, le pouvoir social et culturel.” Granma, La Havane, août 1987.

    “Notre révolution n’aura de valeur que si, en regardant derrière nous, en regardant à nos côtés et en regardant devant nous, nous pouvons dire que les Burkinabés sont, grâce à elle, un peu plus heureux. Parce qu’ils ont de l’eau saine à boire, parce qu’ils ont une alimentation abondante, suffisante, parce qu’ils ont une santé resplendissante, parce qu’ils ont l’éducation, parce qu’ils ont des logements décents, parce qu’ils sont mieux vêtus, parce qu’ils ont droit aux loisirs ; parce qu’ils ont l’occasion de jouir de plus de liberté, de plus de démocratie, de plus de dignité. (…) La révolution, c’est le bonheur. Sans le bonheur, nous ne pouvons pas parler de succès.” Discours prononcé à Tenkodogo le 2 octobre 1987

    « Le plus important, je crois, c’est d’avoir amené le peuple à avoir confiance en lui-même, à comprendre que, finalement, il peut s’asseoir et écrire son développement ; il peut s’asseoir et écrire son bonheur ; il peut dire ce qu’il désire. Et en même temps, sentir quel est le prix à payer pour ce bonheur.” “Fratricide au Burkina, Sankara et la Françafrique”.

    THOMAS SANKARA


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  •  Tous les représentant du mouvement des combattants se sont réunis ce samedi 12 mai afin de réorganiser la lutte et de se remobiliser.

    Au départ de cette réunion une minute de silence a été observer  en mémoire des victimes de l’intolérance au Congo .

     Ensuite, les combattants congolais se sont réunis en sous commission pour examiner , faire un, bilan de notre lutte et trouver des voix et moyens afin de libérer la RDC de l’occupation.

    A l’issu de cette réunion , les combattants ont adoptés un projet de code de bonne conduite pour permettre l’amélioration du combat.

    De cela, est venu la décision d’organiser de grande manifestations. Les dates sont les suivantes : le 26 mai à Bruxelles, le 2 juin à paris et enfin le 30 juin  partout où se trouve la diaspora congolaise acquise au changement.

    DECLARATIONS ET APPEL A DES MANIFESTATION GROUPEES

    REPORTAGE ET CONTE-RENDU

    La reforme de combattant de l'europe.Image fixe001

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  • Au courant de ce mois de Mai EDTV vous présentera une série d'émission sur le bilan et perspectives de la révolution Congolaise. Tout ce que la diaspora Congolaise a accompli pour la libération de son pays.A chaque émission un invité va dresser la liste des actes produit par les combattants Congolais de la diaspora, il nous dira tout sur les flop et les top de leurs actions.

    Soyez au rendez-vous.

    MAMAN KAPINGA BILAN ET PERSPECTIVES

    LE BILAN ET PERSPECTIVES DE MAITRE DONA

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